Marie et Goethals reviennent aux affaires avec Dans mes veines, polar noir à l'américaine comme on dit. Un peu de sexe, beaucoup de drogues pour une histoire très rock and roll...

Après God of War et Prince of Persia et en attendant le tour de Ico et Shadow of the Colossus, c'est Lady Croft qui a droit aux honneurs d'une compilation HD des trois derniers volets de ses tribulations (si l'on excepte The Guardian of Light). Une excellente initiative et l'occasion de (re)découvrir une aventure en trois volets qui n'a perdu ni de son charme ni de son efficacité. Espérons juste qu'après ça Crystal Dynamics tiendra le cap et fera aussi bien sur le reboot à venir.

C'est la fin du monde. La preuve : Britney Spears a filé ses bas.

Avec la parution du second Aspic, cette paire d'auteurs entérine une collaboration qu'on espère voir se prolonger. Retour sur les éléments constitutifs de l'aventure et sur les projets à venir.

La sortie du deuxième EP de Séverin est l'occasion pour l'équipe de Krinein de vous faire découvrir cet artiste qui pour beaucoup représente une vraie bouffée d'oxygène dans la scène pop/rock française.

Une constellation d’Ambitions à défriser, une liste de succès longue comme un des bras élastiques de Reed Richards, un panier de quêtes fourni et renouvelé suivant vos Alliances sur une carte stratégique révélant au fur et à mesure ses territoires secrets, dix héros aux caractéristiques et à la jouabilité particulières, des éléments de jeux de rôle et gestion rafraichissants, des tonnes d’items à collectionner, des heures et des heures de jeu en perspective… A première vue, Les Sims Medieval embarque suffisamment de bonnes choses pour se démarquer par rapport aux précédents épisodes.

Conclusion de la première affaire de l’agence Aspic, voire même celle qui en sera à l’origine, ce deuxième tome laisse espérer une longue série d’enquêtes, avec le même dynamisme et le même esprit (sans jeu de mots).

Que de zombies explosés, de monstruosités déchiquetées et de villageois étranges anéantis en 15 ans...Happy Birthday !

Avec Explicit pictures de We are enfant terrible, vous allez assurément en prendre plein les oreilles d'une musique qui parvient à marier l'electro et le rock en restant originale grâce à l'omniprésence de ces petits sons 8-bits, véritables madeleines de Proust de l'ado gamer des années 90.

Très bien documenté et empreint d’une patte nostalgique par la relation qui unit l’auteur et le sujet qu’il traite, Apprenti, Mémoire d’avant-guerre se lit davantage pour étoffer sa curiosité pour la période riche en événements politiques et sociaux que représente la France des années 30.

Ma Don Corleone, tou peux pas me faire ça à moi ! Tou ne peux pas me flinguer ! Yé tout fait pour toi, yé pris des risques pour ce braquage, laisse-moi ma part !

Pas de surprise pour ce 33ème album des femmes en blanc (plutôt en vert d'ailleurs), juste une continuité rassurante et efficace.

Décidément, la crise est vraiment partout !
Mais au moins grâce à Crytek, on peut maintenant faire quelque chose pour en sortir. Suffit juste de "botter utile" en distribuant des coups de pied dans les parties, et pas forcément de la façon la plus primaire. Et heureusement pour ça il y a la nano-combi 2.0, la panoplie ultime qui rend super balèze, même les petits.
Qui a dit révolution par les burnes ?

Tiens l'Oncle a une petite sœur. Du coup logiquement c'est une tante. Enfin normalement. On sait jamais dans le showbiz.

Lucky porte bien son nom. Malgré sa petite taille et son attitude, il réussit à sortir de la guerre « grandi ». Et si d’une certaine manière, il ne l’a pas voulu, il en profite quand même.