Les 400 coups version 2008, où l'équivalent d'Antoine Doinel se fait piquer la vedette par un duo inattendu. Imparfait mais pas inintéressant.
On vous voit venir : vous croyez tout savoir sur l'incroyable Hulk. « Meuh oui, c'est un gros gars vert avec des muscles ». Et bien sachez qu'au début il était gris, et qu'aujourd'hui il est rouge. Alors au lieu de faire les malins, potassez.
Guy Lefranc, reporter sans peur et sans reproche, part guerroyer contre les nazis en Grande-Bretagne. Pour l'originalité, passez votre chemin. En revanche, les amateurs de classicisme franco-belge sont les bienvenus.
Le chlore, c'est dégueulasse. Mais Le goût du chlore, c'est excellent. La faute à un jeune auteur nommé Bastien Vivès.
Philippe Jaroussky en mettant en avant la carrière de Carestini souligne un peu plus la qualité instrumentale de sa voix : couleurs chaudes, sensuelles, une pureté et une grande clarté de diction...
Marc Levy adapté par sa sœur, c'est l'assurance d'un texte respecté dans toute sa tendresse (mièvrerie ?) badine, rehaussé par la présence de très bons acteurs. Transparent mais distrayant.
Des concerts oubliables et d'autres exceptionnels. Une année entre soleil et pluie. A tous les points de vue.
Rockferry nous plonge au cœur des années 1960 et 1970, du rhythm’n’blues quand celui-ci portait encore fièrement toutes ses lettres, une réelle noblesse. La soul...
Une des meilleures séries télé d'une décennie qui en connut peu de mémorables, et la première adaptation valable d'une bande dessinée de Marvel. Malgré tout, avec le recul, le kitsch y règne en maître.
La maison Soleil, à défaut de s'occuper de vendre des ventilateurs, cherche décidément par tous les moyens à nous filer la chair de poule cet été. Après des histoires de pâles fantômes, c'est le bestiaire de Lovecraft qui est lâché.
Voilà, c'est fait. Krinein peut enfin se vanter d'être LE site de critique en classant précieusement dans ses archives les Feux de l'Amour.
Chargée d’émotion, sa voix un brin éraillée dévoile ce plaisir retrouvé de la composition. Un rock charnel qui pourrait être le côté obscur, pour ne pas dire grunge, de Neil Young.
Will Smith en super-héros dépressif et blasé ? Le personnage est intéressant, mais l'intérêt de Hancock réside au-delà. Une vraie surprise, mélange de naïveté et d'intelligence, qui renonce à être un gros film d'action pour se contenter d'être un très bon film.
Une histoire de rupture qui fait mal au cœur, et de la réacclimatation qui s'ensuit. Espagnol, gentillet, rien de révolutionnaire mais suffisamment de fraîcheur et de sincérité pour convaincre.