Premier roman de Cécile Reyboz, cette Chanson pour bestioles révèle un auteur à l'écriture fraîche et fourmillante de trouvailles.
La lucha est toujours aussi libre, et la cinquantaine de pages qui la composent suffisamment éclectiques pour passer un bon moment de poilade.
Une semi déception pour cette série qui ne tient pas toutes ses promesses mais qui reste un très bon moment d'humour délicieusement décalé.
Baston à tout va et charisme débordant de coolitude suffiront-ils à faire de ce manga français (ou manfra) un potentiel prétendant au titre de shônen attrayant ?
Kingdom de Koda Kumi, c'est la solution à la morosité ambiante du marché du disque. A moins que...
Deuxième album pour Claire Diterzi dont la carrière en solitaire, nous dévoile jour après jour un univers au caractère toujours un peu plus marqué. Rencontre avec cette chanteuse atypique au cours de l’une de ses journées promo marathon…
Mike Oldfield, l'auteur de Tubullar Bells, titre mythique de l'Exorciste revient avec son 23e album. Rien d'autre à dire, c'est toujours aussi bon...
Patrick Bruel s'en est cassé la voix. Même la baguette d'Harry Poker n'aurait pas bronché. Max a mis sa menace à exécution. Et on n'a jamais autant galvaudé le terme de "dames".
Le pire du poker avec le pire du strip-tease. Merci W9.
Le Journal d'un remplaçant est un roman graphique saisissant où la réalité des faits saura vous prendre à la gorge sous la douceur apparente du dessin.
Très bon divertissement pour les jours de pluie. Si vous aimez la Gym vous allez aimer les voir souffrir. Sinon vous aimerez les voir rire. Un essai rebelle mais pas futile.
Thriller hypnotique et lancinant, Les Oubliées ne laisse pas d'autre choix que succomber.
Période 1961-1978 : Goscinny et Uderzo
Pas aussi catastrophique qu'il en a l'air, ce nouvel épisode cinématographique d'Astérix reste une machine à fric sans âme et sans imagination.
Adaptation par Tonino Benacquista d'une de ses propres nouvelles, L'amour cash ne justifie pas réellement une telle opération. Reste une histoire gentillettement cynique. Et non l'inverse.
Même si l'on est encore obligé de s'incliner devant le jusqu'au-boutisme de la démarche, Gescom, sur cette dernière livraison, déçoit.
Partant d'une idée réjouissante, The IT Crowd n'est finalement pas aussi divertissant qu'il le voudrait. La faute aux gags mous et entendus, revus, cent fois revus... On ira voir ailleurs.