Chronique de la série originelle et de sa suite directe pour entrer dans le monde des jeux vidéos par la grande porte, celle de geeks créateurs délirants et à l'hygiène plus que douteuse !
Une fois n'est pas coutume, Darren Aronofsky s'efface derrière ses acteurs. Mickey Rourke prend toute la place dans ce film simple mais touchant, où le combat s'avère aussi rude dans la vie que sur le ring.
Ely revient avec sa tignasse rousse et ses gros nichons pour protéger ses clients des vilains terroristes. Les efforts d'injecter un soupçon de subtilité dans ce schéma tournent vite court au milieu d'une mare de clichés.
Samji renouvelle un catalogue sunjung qu'on croyait presque enterré suite à la fin de Saphira. Mais depuis, la qualité a peu évolué... Exemple avec Legend.
Adaptation d'une oeuvre d'Anatole Le Braz, cette bande dessinée jouit d'un excellent découpage servi par une illustration touchante.
Le manhua qui tue ! Ou plus simplement l'adaptation fidèle du roman du même nom par Li Zhiqing, déjà auteur de l'adaptation graphique de L'Art de la Guerre.
Vengeance est la raison de vivre de kyoko et lorsqu'elle décide de tout mettre en oeuvre pour atteindre son but, attention aux étincelles !
De belles performances physiques, mais une pauvre performance artistique. La jeune génération d'action à la chinoise a besoin de plus de considération !
De loin la série la plus naze de Cauvin, Du côté de chez Poje atteint pourtant son 20ème tome sans broncher, dévidant son lot de blagues pas drôles et aseptisées.
Un shôjo chez Kana, cela peut être une bonne surprise. La preuve en est avec ce Sablier qu'on se plait à voir s'écouler...